L’absence d’effets du quantitative easing (QE) européen amène à se demander si son principal effet n’est pas d’accroître la richesse d’une part réduite de la population, sans parvenir à stimuler l’économie. Cette interrogation sur les effets distributifs des politiques monétaires récentes rejoint une recherche plus vaste sur l’influence des inégalités dans la transmission de la politique monétaire.
Cairn
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